diego de cannes
Messages : 1041
Date d'inscription : 18/03/2008
Age : 72
Localisation : Vallauris France
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diego de cannes
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| | Sujet: Re: VOS TEXTES, ICI... Mar 9 Sep - 21:01 | |
| Bon je vois que vous êtes timides, alors je commence. Il s' agit d' un texte à la gloire de mon père... Il est aujourd' hui au Paradis des Musiciens et je sais qu 'il m' attend !!! Une vieille clarinette c’est tout c’qui m’reste de toi,
Un vieux chapeau en feutre, quelques photos jaunies,
Ton anneau de mariage que je porte à mon doigt,
Depuis ce jour maudit, celui où t’es parti.
On avait encore beaucoup à se dire,
J’avais encore beaucoup à apprendre,
Il était trop tôt pour partir
Le ciel aurait pu attendre.
Souvent je pense à toi, à tout ce qu’on s’est dit,
Je fais comme si tu étais encore là,
Je te parle, tu m’écoutes, mais tu ne réponds pas
J’aimerais tant que tu sois encore ici.
On avait encore beaucoup à se dire,
J’avais encore beaucoup à apprendre,
Il était trop tôt pour partir
Le ciel aurait pu attendre.
Tu m’avais dit un jour, en parlant d’Fatiha,
Tu m’avais dit un jour, cette fille est sincère,
Tu devrais l’épouser, ça fait quatre ans déjà,
On a pensé à toi, pour ton anniversaire.
On avait encore beaucoup à se dire,
J’avais encore beaucoup à apprendre,
Il était trop tôt pour partir
Le ciel aurait pu attendre.
On vit un grand Amour, on s’aime comme des enfants,
Si tu nous vois d’en haut, tu dois être content,
Mais je sais qu’tu nous vois et tu es satisfait
De nous savoir ensemble dans un bonheur parfait.
On avait encore beaucoup à se dire,
J’avais encore beaucoup à apprendre,
Il était trop tôt pour partir
Le ciel aurait pu attendre.
Une vieille clarinette c’est c’qui m’reste de toi,
Un vieux chapeau en feutre, quelques photos jaunies,
Ton anneau de mariage que je porte à mon doigt,
Depuis ce jour maudit, celui où t’es parti.
On avait encore beaucoup à se dire,
De toi j’n’ai pas tout entendu,
Il était trop tôt pour partir,
Le ciel n’a pas attendu.
Une vieille clarinette c’est tout c’qui m’reste de toi,
Un vieux chapeau en feutre, quelques photographies,
Ton anneau de mariage que je porte à mon doigt,
Depuis ce jour maudit, celui où t’es parti.
On avait encore beaucoup à se dire,
J’avais encore beaucoup à apprendre,
Il était trop tôt pour partir
Le ciel aurait pu attendre. | |
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