Buona Vacanza Tutti .. Viva ZEM <3
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| | GRAND CORPS MALADE... |  |
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| Auteur | Message |
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diego de cannes
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| | Sujet: Re: GRAND CORPS MALADE... Dim 30 Nov - 21:13 | |
| mercredi 23 juillet 2008, par céd… Si j’avais su que c’était dangereux,
Crois moi je ne l’aurais pas fais,
J’ai toujours cru être le mieux,
Tu disais que j’étais parfait.
Moi si jeune voulant rire,
Jamais un enfant pense au pire,
Mais au contraire va trop loin,
Quitte à se retrouver au coin.
Je ne t’accuse pas de ne pas m’avoir expliqué,
Mais comment l’aurais-je deviné ?
Je ne pouvais savoir que ce bâton de bois
Était risqué si on gratte le bout rouge du bas.
Tu n’imagines pas comme on s’ennuie,
Puni au coin, je n’avais rien d’autre en main,
Quelques minutes plus tard maman s’enfuit,
J’entends crier, je regarde et réalise enfin.
J’ai gratté ce truc rouge qui était marrant,
Maman a bien réagi et a déguerpi,
Toi tu te devais de me tirer de là aussi,
Maman me réclamé, il n’y eu jamais un meilleur moment.
Homme brave et fort, tu m’a soulevé,
Mais qui donc allait te soulever toi Papa ?
Je t’ai vu te débattre sous mon nez,
En me regardant d’un œil terrifié papa.
On s’en ai sorti grâce à toi mon héros,
Maintenant nous vivons sans toi,
Mais te devons tout, on revient de très haut,
Et toi tu ne reviendra pas à cause de moi.
Tragédie de la vie, enfant qui s’ennuie,
Une flamme dans la nuit, la fin d’une vie,
Une reconnaissance éternel, une culpabilité certaine,
Tragédie d’un instant, douleur par centaines. | |
| | | | diego de cannes
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| | Sujet: Re: GRAND CORPS MALADE... Dim 30 Nov - 21:15 | |
| mercredi 8 octobre 2008, par céd…
Je vous ai pourtant conseillé de ne pas lire,
Car ce qui vient d’arriver mène mon rouge cœur à pâlir,
ELLE, vient de choisir sa voie,
En m’ôtant le son de sa voix.
Le monde vient de prendre tout à coup,
Une odeur angoissante, j’ vous l’avoue,
Les gens qui m’entourent depuis bien longtemps,
Dorénavant m’effrayent, l’histoire à fait son temps.
J’ai toujours penser être à la hauteur,
Mais il s’avère qu’en fait je ne le suis guère,
Au travers un semblant d’auteur,
Je viens déclarer la fin d’une carrière.
Nul besoin d’écrire désormais mes sentiments,
Car même l’ ordi me fait peur,
J’ai perdu mon pilier, je suis mur sans ciment,
ELLE est parti avec mon coeur.
J’aurais tant préféré qu’elle parte pour un autre,
Ou que je la surprenne infidèle dans la rue,
Mais le sort qu’elle vient de me jeter est tout autre,
L’amour n’y es plus, la solitude a réapparu.
Je suis terrifié de me lever le matin,
Toutes ces habitudes et ces projets doivent s’oublier,
Je n’ai plus que le chagrin,
De ne pas avoir été assez comme elle voulez.
Nous avions un futur déjà construit,
Avec tous tes défauts j’aurais dis oui pour toujours,
J’étais l’homme le plus heureux et instruit,
Car j’avais à mes côtés la définition même de l’amour.
Tu ne liras jamais tous ces écris,
Qui ont pourtant été tous mes cris,
Un homme est peiné car il perd sa moitié,
Un vrai homme viril qui ne vit qu’à moitié.
C’est dingue comme la peur rend triste,
Et comme la tristesse fait peur aussi,
J’aurais aimé croire au Christ,
Pour croire qu’il en ai mieux ainsi.
Je l’aimerai toujours car elle est moi,
Car elle m’a aidé dans un monde en émoi,
Je lui appartiendrai toujours un peu et à vie,
Car tout ce que je sais, ELLE me l’a appris.
J’ai peur de me coucher sans son appel,
J’ai peur de me lever en sachant que je ne la verrai,
J’ai peur de pleurer sans être dans ses bras,
J’ai même peur de continuer sans être à ses côtés,
J’ai peur d’enlever ses photos collé aux murs,
J’ai peur car absolument tout me rappelle notre histoire,
J’ai peur car aucune ne sera comme elle,
J’ai même peur de l’annoncer à ma famille,
J’ai peur car tout le monde me dit que c’est la vie,
J’ai peur car un homme ne doit pas avoir peur. | |
| | | | diego de cannes
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| | Sujet: Re: GRAND CORPS MALADE... Dim 30 Nov - 21:19 | |
| lundi 10 novembre 2008, par radauteur
Dieu n’est pas ce que l’on croit.
Socrate Jésus et Gandhi,
Nous l’on pourtant déjà dit.
Il est toi et il est moi,
C’est rien et pourtant il sait tout
Comme une énergie invisible
Qui permet de vivre entre nous
Et éviter d’être des cibles ;
Dieu est un autre fusible de survie
Il se fou des blasphème
Et préfère que l’on s’aime
Et que l’on soit tous unit
Pour éviter de vous entretuer
Mieux vos croire en dieu pour le blâmer…
Nous sommes tous égaux devant lui
Si se n’est pas le cas prenez vous en a lui.
Comme dit le roi des chrétiens,
Aime-toi autant que ton prochain.
Comme dit le prince des musulmans
Fait l’aumône au mendiant.. !
Pour ma part, il divise sur la terre
Au lieu d’ nous unir pour la paix.
A moins que nous soyons trop niais
Pour ignorer qu’on est tous frère..
Il nous teste comme des joujoux
Alors, nous devons nous aider
Pour lutter contre sont joue
Et nous employer au respect.
Y a rien n’a comprendre,
Y a rien n’a attendre.
Y a que nous pour nous.
Y a qu’un ciel, nous somme dessous.
Y a que nous contre nous
Y a qu’un enfer, il est sur terre
Y a qu’un paradis, et il survie
Y a p’ t’ être eu yavhé, mais
Y’ avais pas d’ paradis, alors il s’ enfuie.
Hi, oui c’ est di slam….
C pas d’ l’islam…..
Ça glisse comme une lame,
Et ça guéri l’âme….
Ci d’ l’ amour a prendre avec humour !
Inch allah ! ….
j’oubliais le roi des juifs
qui nous dit que c’est un jours festif !
et le maître des bouddhistes
qui rappelle que nous sommes des artistes….. | |
| | | | diego de cannes
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| | Sujet: Re: GRAND CORPS MALADE... Dim 30 Nov - 21:21 | |
| lundi 22 septembre 2008, par Fabien…
Ceci n’est pas une rumeur,
des hommes dans la rue meurent.
Réel, cruelle ruelle.
L’expert répète qu’il s’agit d’un problème complexe,
soudain il me vient des complexes.
Inclure le tragique relève-t-il du démagogique ?
Exclure le magique de la rhétorique,
c’est aussi ne pas faire croire que les gens profitent du systèmes,
uniquement par calcul ou par flemme,
c’est oublier que leurs histoires est couvertes d’oedèmes,
que leur place est si loin du totem,
à l’emplacement du mépris des autres et d’eux-mêmes.
Alors ce n’est pas une rumeur,
des hommes dans la rue meurent.
Réel, cruelle ruelle.
L’expert nous explique que la mécanique de l’économique
fonctionne de manière cyclique.
Donc la politique peut faire ses clics
et ses clacs
La main invisible distribue les caresses et les claques.
La paresse est séduite,
mais l’âme en est réduite
à régler ses pas sur celui du marché.
Dans le cadre de l’offre et de la demande,
n’apparaît pas l’offrande.
La croissance est avant tout un moyen,
de combattre la faim,
de parvenir à de louables desseins.
Elle est devenue une fin,
l’homme semble remplir un verre sans fond.
Coincé dans l’ étau d’intérêt,
il en oublie les solidarités
et les solides charités.
Ceci n’est pas une rumeur,
les hommes dans la rue meurent
Réel, cruelle ruelle. | |
| | | | diego de cannes
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| | Sujet: Re: GRAND CORPS MALADE... Mer 3 Déc - 13:09 | |
| On nous parle de croisades mais si nous faisons les totaux des invasions tartares,
On s'aperçoit que le taux est trop faible pour en faire une tare!
Ce n'est pas de si tôt que l'on verra les hommes main dans la main même s'il est déjà si tard,
exemple: Dans l'abbaye de Cîteaux, avez vous déjà entendu jouer de la cithare?
Choisissez bien! Doit-on être catho ou cathare?
Je crois que c'est le même mytho pour le même mitard!
Pendant que le pape mène une vie de château... Le chatard!
prenez garde! ils nous mènent en bateau... les bâtards!
la religion: cet étau, pour les cerveaux de ces têtards!
Mais croyez moi mes amis ils le paieront… tôt ou tard!  | |
| | | | diego de cannes
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| | Sujet: Re: GRAND CORPS MALADE... Mer 3 Déc - 13:13 | |
| Dans la vie j'ai su acquérir le sens de la formule,
Étant petit les probabilités étaient faibles car je parlais fort mal !
Mon professeur de français a d'ailleurs gravé sur mon dossier scolaire:
"Niveau insuffisant pour un élève qui pense le contraire."
J'ai su m'en soustraire pour travailler ma plume et ma diction,
Sachant qu'il paierait tôt ou tard, cette addition !
Je rêvais de lui rendre la monnaie de sa pièce pile dans sa face,
où j'aurai aimé multiplier les pains... A chacun ses miracles ! Qu'espériez vous que je fasses !
Mes coups de sang apparents taisent une frustration renfermée,
C'est qu'il était rusé, avec un certain quotient intellectuel... il savait diviser pour mieux régner !
Ils nous traitait de tous les noms d'oiseaux, ce crâne d'oeuf mal peigné,
sans vouloir faire de chauvinisme, je préfère ceux qui s'assument, parenthèse refermée !
Sa carrière se résumait à trente années loin d'être glorieuses, en pleine dépression,
La fonction publique n'est pas toujours une bonne opération !
la vie est un jeu de dé si mal jeté que tout est relatif, c'est bien réel,
On veut tous finir entier et ça c'est naturel !
Mais lui était très mauvais dans l'exercice de ses fonctions... Linéaire est le mot approprié,
C'était un prof usé à qui il ne restait plus rien à part prier !
Ma foi, je ne vais pas lui allumer un cierge,
Lui qui a pris un malin plaisir à nous virer de nos sièges !
Et ainsi sa classe s'est retrouvée en nombre réduit,
Même si certains facteurs expliquaient ce qu'il s'est produit !
De moins en moins présents, nous étions de plus en plus à lui en vouloir, (parce que moins et moins ça fait plus)
Nos moyennes ne dépassaient pas 3,14 mais tant pis on se vengeait dans l' couloir !
Je reconnais que cracher dans son dos n'était qu'un signe de lâcheté,
Et je ne pourrais pas compter le nombre d'impairs qu'il a du acheter ! | |
| | | | diego de cannes
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| | Sujet: Re: GRAND CORPS MALADE... Mer 3 Déc - 13:17 | |
| Mon slam est sans papier
L’important c’est la prose, l’important c’est la prose l’important…
Mais tout ça c’est n’importe quoi et pourtant…
La vérité est trop habillée !
L’important c’est de dire les choses du cœur ou de la tête mais que t’as pas piller !
Je me suis invité, je n’avais pas d’ billet !
Mon slam est sans papier !
Il est comme sarko dans une fête de l’huma…
Perdu au milieu de six milliards d’êtres humains.
A mille lieux d’être similaire ou assimilé,
Forcé de s’humilier, il a appris à simuler!
Il fait semblant, comme eux dans leur assemblée,
Un flow semblant commun pour leur ressembler !
L’instinct cinglant, un peu cinglé,
L’instant sanglant il peut cingler !
Mais dans l’impasse, une autre voie s’envisage,
Arrivé ici sans visa mon slam a cent visages !
Il pourrait être n’importe lequel d’entre vous
Habitant en centre ville ou lisant entre vue
Mais il ne sait pas lire votre langue il la parle à peine,
Il a du faire avec et mettre à part la peine !
Il doit lutter pour s’exprimer,
Assez butté pour s’escrimer !
La vie est un festin où il faut s’inviter,
Le bonheur est une idée que l’on peut s’inventer !
On s’y accroche sans hésiter,
La vérité on cherche à l’éviter !
Il a vu que l’image gênait !
Il était loin de l’imaginer,
Exclu, il a vu ce que les marges génèrent,
Excuse ! Mais il a préféré l’imaginaire !
Il vit à travers un écran,
Le cerveau rangé dans l’écrin,
Livré à ses craintes, il a des crampes,
Ressens l’étreinte c’est comme la crise des années trente !
Loin des grands dessins des grands destins
Mon slam est clandestin !
C’est l’amère partie de la damnation dont il est déjà roi,
Qui plonge la mère patrie de la dame nation dans le désarroi !
Pour être heureux vivons caché, mais pas à Cachan,
Dans des cachots, il s’est gâché en se cachant !
Attention, l’effet ricochet se guette,
Le coma comme à Sangatte se gâte !
Mais ils s’en battent, et lui s’emballe
Car ils s’empattent et lui s’empale !
Les yeux écarquillés,
Il finit par s’éparpiller,
L’important c’est de ne pas plier de ne pas piller,
Mon slam est sans papier !
Sa rime est pauvre comme dans les favelas,
Ruinée dans la quête de quelques phases, hélas !
Il aimerait être les lys, ces fines fleurs
N’étant qu’une mauvaise herbe dans la fine flore !
Il doit penser à se dépasser, penser à se dépenser…
Penser, il ne peut s’arrêter de penser.
C’est drôle comme les gens le rendent
Il tourne en rond comme les flics en ronde
Ou comme un son d’ Norah Jones abusé par nos radios,
C’est un d’ nos rares jeunes médusés par son radeau !
Il a tenté sa chance sur un boat people,
Rejoignant la terre promise où ses potes l’épaulent,
A ce qu’il paraît il n’est pas civilisé,
Apeuré, Traqué par des flics en civils ici,
Il faut qu’il les supplie, mais c’est un supplice
Rimer n’est pas un délit c’est un délice ! | |
| | | | diego de cannes
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| | Sujet: Re: GRAND CORPS MALADE... Mer 3 Déc - 13:54 | |
| Vous êtes timides, Vous ne savez pas écrire, vous avez honte ou bien à court d' idées ? | |
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| | Sujet: Re: GRAND CORPS MALADE... | |
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